mardi 26 mai 2009
Rencontre / Débat
« La reconnaissance du mouvement Hip Hop passe-t-elle par une qualification des praticiens ?»
A gauche : Thierry Blouet, directeur de Artel 91 (structure cde développement culturel dans l’Essonne)
Au centre : Jean-Marc Sartore, directeur de
A droite : Letti Manotte, Danseuse et chorégraphe, formatrice en danse (issue de
Une première conclusion partielle peut être tirée de cet échange :
"S’il appartient bien aux pouvoirs publics, et en particuliers aux élus locaux, de proposer des moyens pour la pratique, la création et la diffusion, il appartient également aux acteurs et aux praticiens de se former, de faire valider leurs compétences et leurs messages par les professionnels et le public (pour le Hip-hop comme pour les autres formes d’art ou de spectacle vivant). Cela peut passer par une organisation des acteurs en collaboration avec les structures socioculturelles afin de mieux promouvoir les pratiques et la création dans toutes les disciplines artistiques du Hip-Hop."
Jean-François Dargencourt.